Chère Taiwan,
Cela fait déjà trois semaines que je t’ai quittée et hier encore, j’exprimais à un ami tous tes charmes et tes beautés. Avec passion, je lui déclarais à quel point les gens qui t’habitent sont aidants et souriants. Malgré le peu d’espace que tu leur donnes, j’évoquais avec enthousiasme ta propreté et ta sécurité. Je me souviens encore de tes montagnes, tes vallées et tes rivières. Tes rizières nichées au creux des petits espaces de tes nombreuses villes. Tes temples qui regardent au delà des gratte-ciels, de la vitalité de jour et de nuit des citadins de ta capitale. Finalement, je n’oublierai jamais ton tofu, si nauséabond, mais si affectionné.
Merci encore pour ton accueil, tes odeurs et tes plats délicieux.





